Le droit de réponse de Jean-Loup Metton
Le droit d’expression de l’opposition est un élément clé de toute démocratie digne de ce nom. Ainsi, l’opposition doit pouvoir s’exprimer dans le journal municipal. Elle le fait dans la « Tribune des Groupes de l’Opposition ». Qu’en est-il dans le Montrouge magazine d’avril-mai 2008, celui de l’après élection ? C’est une occasion pour revenir sur quelques péripéties de l’histoire de Montrouge magazine et pour opérer des comparaisons avec les communes voisines.
Dans le numéro de Montrouge magazine d’avril 2008, on trouve un dossier « pédagogique » utile sur le fonctionnement d’une municipalité et sur les élections. Mais aussi un éditorial du Maire, qui reprend des éléments polémiques déjà analysés dans notre commentaire de L’affiche de Jean-Loup Metton, et une interview bucolique intitulée « Rencontre avec Jean-Loup Metton » où notre édile raconte les couleurs, les bruits et les odeurs de Montrouge. Ce qui fait trois pages vouées à l’auto-célébration du Maire. Assez courant pour un numéro de rentrée municipale.
En fin de journal figure la « Tribune des Groupes de l’Opposition » qui consiste en une page divisée par moitié entre « La Gauche » et le PCF - le MNR ayant disparu du paysage municipal. Et puis, éternelle surprise, trône en face la page consacrée à l’inénarrable « Droit de réponse » signé « Le Maire, Directeur de la publication. » Une page blanche à 80%, étonnant gaspillage de l’espace papier. 4 pages au Maire donc et 1 page à l’opposition pour ce numéro.
Les choses se pimentent quand on entre dans le détail. Dans la page de l’opposition voici ce que note le groupe intitulé « La Gauche » (socialistes, verts et radicaux de gauche) : « Nous avons proposé, afin d’assurer la transparence de certaines commissions qu’un représentant de l’opposition soit présent dans la commission pour l’attribution des places en crèches et jardins d’enfants, ainsi que dans la commission dérogation scolaire. Nous avons proposé qu’un élu de l’opposition participe au conseil municipal des enfants. Le maire et les élus de droite ont refusé. La transparence n’est toujours pas à l’ordre du jour à Montrouge. »
Une revendication simplement démocratique. Mais vlan, voilà le « Droit de réponse » du Maire : « S’agissant de la transparence, elle existe depuis que je suis Maire à Montrouge. En effet, depuis 1994, l’opposition est présente dans toutes les commissions ou organismes à la proportionnelle. Il est évident que lorsqu’un seul poste est à pourvoir, il revient à la majorité. C’est le cas dans les exemples qui ont été évoqués. Un peu d’honnêteté intellectuelle serait la bienvenue » [c’est nous qui soulignons]. Avec un aplomb incroyable, notre Maire profite de son ci-devant « Droit de réponse », pour raconter n’importe quoi. Comme on dit dans la cour de récré : c’est celui qui le dit qui l’est. Sauf que là il s’agit d’une chose sérieuse, à savoir l’exercice d’un droit fondamental.
Reprenons. Depuis qu’il est Maire – 1994 –, se vante-t-il, l’opposition est présente dans les commissions municipales. C’est vrai, mais c’était déjà le cas du temps de Henri Ginoux. Et puis, tout simplement, ce n’est que l’application de la loi qui a rendu la chose obligatoire depuis 1992, du moins pour un certain nombre de commissions [1].
Reconnaissons cependant que notre Maire est, sur ce point, au-dessus du plancher de l’obligation légale, puisqu’il accorde une place à l’opposition dans des institutions municipales où la loi ne l’y oblige pas : OPHLM, Semarmont, Comité des centres de loisirs, Conseil consultatif des affaires culturelles.
Entrons dans le vif. Dans les cas cités par la Gauche, dit le Maire, il n’y a qu’un seul poste à pourvoir. Jetons un coup d’œil au compte-rendu de la première séance du nouveau Conseil municipal, celle du 22 mars 2008 [2].
Commission pour l’attribution des places en structures petite Enfance : « Je (c’est le Maire qui parle) vous propose qu’elle soit composée de : - le Maire, ou son représentant… - 3 membres de notre assemblée… » Le compte-rendu signale le refus du Maire d’y accorder une place à l’opposition. Est procédé ensuite à l’élection des trois conseillers de la majorité. Ajoutons le Maire (ou son représentant), cela fait 4.
Commission dérogation scolaire : même scénario. Élection de deux conseillers de la majorité. Le Maire en plus, cela fait 3.
Conseil municipal des enfants – une institution prévue pour servir justement à l’apprentissage de la démocratie et qui, du coup, s’en fait la caricature : Le Maire et deux représentants de la majorité y siègeront, 3 au total. Et zéro pointé pour l’opposition.
Dans les trois cas cités par la gauche et que le Maire prétend réfuter, on pouvait donc accorder une place à l’opposition. De plus, même s’il n’y avait eu qu’un seul poste à pourvoir, rien ne semblait empêcher le Conseil municipal d’en ajouter deux autres pour permettre une représentation de l’opposition [3] . Mais cela aurait été faire preuve de trop d’imagination et de trop d’audace démocratiques ! [4].
Or c’est bien le Maire qui était le rapporteur pour ces différents points au Conseil municipal du 22 mars 2008. On ne peut lui reprocher d’avoir somnolé pendant ce temps. Et pourtant quelques jours plus tard, dans Montrouge magazine, c’est encore lui qui signe le « Droit de réponse » en question. Erreur ? Mensonge ? Désinvolture ? Expression d’une espèce de sentiment d’impunité ou de toute puissance d’un Maire nouvellement réélu ? Voilà un « Droit de réponse » qui se transforme en pouvoir de tromper et c’est une mandature qui commence mal en termes de cette courtoisie que réclamait le Maire dans son allocution de nouveau réélu, mais qu’il n’applique pas lui-même.
Revenons en arrière. Janvier 1994 voit la parution du dernier numéro du Bulletin de Montrouge. Le bulletin disparaît avec son fondateur, Henri Ginoux, qui l’avait lancé dans les années 1950. Jean-Loup Metton, fraîchement élu Maire par le Conseil municipal, lance Montrouge magazine en septembre. Dans son numéro 2, en octobre 1994, le Comité de rédaction annonce : « Une page est consacrée à l’expression libre des différentes composantes du Conseil municipal ». Une page remise à plus tard faute d’avoir obtenu un texte de chacun des groupes, nous dit-on. Le projet se concrétise… un an et demi plus tard, en avril 1996, avec une double page : majorité de droite d’un côté, minorité de gauche de l’autre. Voilà qui serait la norme légitime de l’expression politique dans un journal municipal. Et puis l’innovation disparaît aussitôt. La fusée s’est désintégrée sur sa rampe de lancement.
Il faut attendre le numéro de février 2002 pour voir réapparaître une « Tribune des groupes de l’opposition » – sans expression prévue pour les composantes de la majorité. Dans ce numéro, seul le MNR est représenté par un texte, les deux autres emplacements (PS, PCF) restant blancs.
Numéro suivant. Le PS annonce son refus : « Les conditions d’une expression pluraliste et démocratique des Montrougiens dans « Montrouge magazine » ne sont pas réunies. C’est pourquoi les élus socialistes du Conseil municipal de Montrouge ne s’exprimeront pas dans cette « tribune ». » Plus malin, semble-t-il, le PC profite de l’opportunité : « Après huit ans de demandes répétées, le groupe communiste peut enfin s’exprimer dans « Montrouge Magazine ». Bonjour la démocratie ! » déclare-t-il en préambule de son inséré.
Le PS modifie sa position deux numéros plus tard et publie sa première tribune. Novembre 2002, le PS s’exprime sur un espace vert promis et non réalisé. Du coup, notre édile, qui piaffait d’impatience, inaugure son « Droit de réponse du Maire » qui prétend réfuter la critique et clouer le bec à son opposition.
Numéro suivant, janvier 2003, le PS proteste et s’explique : « La loi dite pour la démocratie de proximité (février 2002) accorde à tous les groupes politiques des tribunes de libres expressions dans les journaux municipaux. Mais à Montrouge, la procédure est revisitée. C’est la démocratie à la « sauce » Metton. Le même espace pour l’extrême droite et la Gauche en dépit des résultats électoraux. Le refus de la droite de s’exprimer dans ces tribunes. Dans le n° 50, vous avez pu lire notre article avec un prétendu droit de réponse que s’arroge M. Metton. Les arguties de justification ou de désaccord auraient dû figurer dans la tribune de son groupe politique et dans le n° suivant. Nous le laissons poursuivre seul sa polémique. Il y avait déjà eu une rubrique sans texte pour les élus PS, la modification d’un de nos articles par M. Metton (il a osé). Alors à quand la censure totale ? »
À quoi le Maire, sans nier les faits dénoncés, rétorque dans son « Droit de réponse » par cet avertissement : « Droit de réponse. Si le Parti Socialiste et le parti Communiste font toujours partie de la gauche (sic), le lecteur pourra constater qu’ils occupent les deux tiers de la page. Chaque fois qu’un des groupes de l’opposition affirmera des choses inexactes ou partielles, nous interviendrons pour rétablir la vérité ou compléter ces informations, afin que le lecteur soit parfaitement éclairé. Pour le reste, les propos contenus dans cette rubrique sont sous l’entière responsabilité de leurs auteurs. Le lecteur appréciera. Signé : « Le Maire, Directeur de la publication ».
Dès ce moment et de façon explicite, le Maire se pose en détenteur de la vérité et soupçonne les autres de malhonnêteté intellectuelle. Une prétention démesurée qui ne le quittera plus.
La réapparition de la page d’opposition n’est que la traduction de la loi « relative à la démocratie de proximité » de 2002 dont l’article L2121-27 stipule : « Dans les communes de 3 500 habitants et plus, lorsque la commune diffuse, sous quelque forme que ce soit, un bulletin d’information générale sur les réalisations et la gestion du conseil municipal, un espace est réservé à l’expression des conseillers n’appartenant pas à la majorité municipale. Les modalités d’application de cette disposition sont définies par le règlement intérieur. » C’est pour le moins une contrepartie nécessaire lorsqu’on sait que les bulletins municipaux ont un fort penchant à servir la soupe à l’équipe au pouvoir et à vanter ses réalisations, en passant sous silence ses échecs. À titre d’exemple, toujours rien sur la piscine municipale dans le dernier numéro de Montrouge magazine !
La Tribune de l’opposition est donc devenue une institution, inscrite dans le règlement intérieur du Conseil municipal. Mais ce qui est douteux, c’est ce « Droit de réponse » que s’attribue le Maire en regard de la page d’opposition, un droit non validé par ce même règlement. Un droit de réponse ? Plutôt un pouvoir de manipuler l’opinion, un coup de force du Maire qui s’arroge la capacité de répliquer à l’opposition avant même l’impression du journal, alors que l’adversaire est réduit au silence durant deux mois (délai de parution du numéro suivant), histoire de procéder à une sorte d’annulation magique de toute velléité pour l’opposition de disposer d’une expression libre.
Cette page aux trois-quarts vide, ce blanc à la discrétion du chef, c’est comme si le Maire nous disait : cette page est ma propriété, et le droit du propriétaire, c’est de faire ce qu’il veut de ce qu’il possède, quitte à laisser inexploité son bien si tel est son bon vouloir. Ou encore : C’est à moi le dernier mot, même si c’est un mot en blanc. Y répondre dans le numéro suivant, ce serait pour l’opposition tomber dans le piège de la polémique perpétuelle. Il y a là finalement, de la part du Maire, une pratique méprisante pour les citoyens, pour l’opposition municipale, pour la majorité municipale elle-même, privée d’expression propre et réduite à un silence obéissant.
Nous sommes allés faire un tour dans les communes voisines, pour voir comment les choses se passent. Disons tout de suite que la formule la plus courante, c’est un espace dédié aux groupes municipaux, partagé entre majorité et opposition [5]. La pratique du droit de réponse préventif du Maire est rare. On la trouve, depuis peu... à Châtillon. Si l’intercommunalité sert au moins à une chose, c’est à ce délicieux emprunt.
Un mauvais élève, c’est Malakoff, dirigée par une municipalité associant le PCF (en position dominante) et le PS (65,76% des voix au 1er tour pour la liste commune). La « page ouverte à l’expression des groupes du Conseil municipal » est consacrée aux deux tiers à l’expression des groupes de la majorité, un tiers au groupe UMP. Le petit nouveau, Jean-Emmanuel Paillon, de la liste « Les démocrates de Malakoff », n’a pas eu droit à cet honneur.
Le bon élève de la classe, c’est Gentilly – si l’on s’en tient à la lecture du journal municipal Vivre Gentilly. Une municipalité où la majorité se compose des communistes et d’autres composantes de la gauche (dont 2 représentants de la LCR). Cela commence par un édito de Maire. Mais plus loin on trouve une page où cinq conseillers municipaux racontent leur expérience de campagne (trois de la majorité, deux de l’opposition, mélangés) et plus loin encore une double page : 1/3 pour la majorité élue, 2/3 pour les groupes de la minorité (PS et Verts pour une part, Majorité présidentielle pour l’autre).
Au passage, signalons que ce droit d’expression n’est pas limité à la presse écrite. Il vaut aussi pour le support Internet. Existe-t-il une expression autonome des groupes du Conseil municipal et singulièrement de l’opposition sur le site municipal de Montrouge ? Non, aucune à l’heure actuelle.
La loi devrait être plus généreuse et plus contraignante dans un système où avec 53,47% des suffrages exprimés, la majorité municipale emporte 77% des sièges de conseillers, par la simple application du code électoral au cas de Montrouge. Alors qu’on discute d’un statut de l’opposition au Parlement, il faudrait revoir le statut de l’opposition municipale. [6]
N.B. Source : Archives municipales pour les anciens numéros de Montrouge magazine.
Le feuilleton du Droit de réponse se poursuit avec le n° de Montrouge magazine publié en juin 2008. Le PCF rédige une Tribune intitulée "Droit de réponse aux droits de réponse" et le Maire s’obstine à y répondre. Il tente de se justifier en répétant les mêmes propos qu’il tenait dans son "droit de réponse" de janvier 2003. Les termes sont mêmes durcis : on passe de "choses inexactes et partielles " (version 2003) à des "contre-vérités" et des "fausses informations" (version 2008) qu’il s’agirait de rétablir.
[1] On trouve sur le site de Légifrance l’ancienne formulation de la loi, Article L2121-22 (avant 1992) et la formulation de 1992 reprise en 1996.
[2] voir sur le site municipal le compte-rendu de la séance du 22 mars 2008, pages 19 à 21
[3] La représentation proportionnelle de l’opposition est comprise en rapport du nombre des conseillers (33 pour la majorité, 10 pour l’opposition à Montrouge), ce pour quoi le Maire n’accorde en général de représentation à l’opposition que lorsqu’il y a au moins 5 postes à pourvoir : dans ce cas un poste va à l’opposition.
[4] Pourtant, Paris donne l’exemple en confiant à l’opposition la présidence de deux des neuf commissions du Conseil de Paris.
[5] On trouve le même principe dans Le 92, mensuel du Conseil général présidé par Patrick Devedjian, une page pour les groupes d’opposition, une page pour les composantes de la majorité départementale. Dans à Paris, magazine de la municipalité dirigée par Bertrand Delanoë, on trouve pareillement 3 pages partagées entre les 6 groupes de la majorité et de l’opposition.
[6] D’autres points seraient à examiner comme la retranscription des interventions de la majorité et de l’opposition aux séances du Conseil municipal. La bonne pratique – elle existe dans certaines communes – serait de proposer un compte-rendu intégral sur le site de la ville. Il est anormal également qu’on refuse aux conseillers d’opposition toute indemnité (à Montrouge comme dans beaucoup de communes) alors même que la loi le permet : que dirait-on d’un parlement où seuls les députés de la majorité seraient rémunérés ?
Tempête dans un verre d’eau, tant pour si peu, MONBOUGE fait des dossiers ( qui prennent beaucoup de temps, mais dont la consistance est trés mince) ils n’ont rien d’autre à faire.
Et, en plus, l’auteur cite comme exemple le conseil municipal de Paris comme exemple de la démocratie et du respect de l’opposition . Heureusement il n’a pas fait état de la démocratie participative à Paris, car il y aurait beaucoup à dire à ce sujet !
Mais personne ne changera monbouge, après les bêtises de la campagne electorale, relisez-les : les bêtises de l’après campagne,
Montbouge qui a pris une godasse au festival de Romans, prépare celui de Cambrai où elle obtiendra peut-être l’or.
Pauvres brebis de l’opposition
avec un jean-LOUP dans la bergerie...
il veut se faire les dents dans le "sans" (droit de parole)
Je propose à ceux qui s’en souviendront pour les prochaines élections :
"METTON LE DEHORS"
Un bon slogan plus fort qu’un mauvais programme...
Eh oui l’inconsistance du propos est à la hauteur de son auteur il se croit plein d’humour ; mais sa signature démocratie92 est la négation de son propos.
cette littérature ressort les ponsifs de la dernière campagne électorale qui n’ont pas eu l’effet escompté puisque la démocratie a parlé.
Les prochaines élections sont assez loin , quand au jeu de mot, c’est facile et ça peut rapporter gros aux i........ !
Un ami habitant dans un immeuble frappé d’alignement m’a fait part d’une reflexion du maire : un jour ou l’autre, meme dans 20 ans, je préempterai....
A quand une tribune de JLM, par JLM, et avec JLM dans Montbouge ?
Il est vrai que si l’on croit son ambition, nous avons le temps.
Et puis, JLM dans Montbouge, cela serait l’immobilisme dans ce qui veut créer du mouvement ...
Nnours qui vole, plane ou vous souhaite de bonnes vacances !
Allons Nnours, le roi n’est un pas un sujet !!!Même pour Montbouge
Frappé d’alignement cela n’existe plus depuis longtemps de quoi parlez-vous,nnours ? Vous vous êtes encore roulé dans vos déficiences,car vous ne volez que trés bas au ras du sol ;
Mais il faut occuper l’espace, comme les montbougiens illustres sont actuellement aux abonnés absents, ils se reposent de leurs faits d’armes éclatants du premier trimestre et nous concoctent une rentrée retentissante
alors bonne nuit ( vacances) nnours...
Les insultes de cette remarque n’est meme pas digne d’etre méprisée. Il y a encore des immeubles que la municipalité préempte pour élargir des routes ou des intersections.
Quant au reste, si ce forum ou mes remarques vous déplaisent, ne les lisez pas !
Pour revenir sur les alignements, un petit extrait du CR du conseil municipal du 8 avril 2008 :
Mme ROBINEAU demande les motifs de l’acquisition des locaux du 2-4 rue René
Barthélémy (décision 2008-5).
Le Maire précise que ces biens sont frappés d’alignement sur la rue Gabriel Péri.
Quant à Lohengrin, on se demande bien par quoi il a été frappé (peut être sa haine pour les enseignants - pas de chance, ce n’est pas mon métier).
Ce n’est pas de la haine contre les enseignants , Dieu les garde , mais un constat contre l’inactivisme de MontBouge qui a tappé tellement fort avant l’été qu’il s’est mis lui-même K.O. pour la totalité de l’été ; ils se sont mis au vert, comme on dit chez eux.
Quand au droit de réponse il est légitime dans toute démocratie, n’en déplaise à Montbouge qui n’est jamais à une contradiction près.
vos remarques ne nous déplaisent pas, loin s’en faut, il faut bien animer le forum par quelques textes, c’est les intervenants qui alimentent MontBouge, (qui ne mérite pas son nom, l’a-t’il jamais mérité)certain textes sont meilleurs que d’autres, mais il en faut pour tous les goûts, suivez mon regard.....
quand au mépris, et aux insultes, c’est vous qui voyez, si les autres vous méprisent et vous insultent par leurs remarques, faites vous soigner car vous ne supportez alors pas grand chose.
Une remarque, n’en vous déplaise encore une fois, cher Nnours :
De logique, cette fois-çi,, mais on est pas à cela près avec vous, "si mes remarques vous déplaisent,ne les lisez pas" Ah, ah ; on voit le cartésien en vous, encore faut-il les avoir lues pour savoir qu’elles nous déplaisent ; ce que vous auriez du écrire dans la droite ligne éditorale de monBouge, "si mes remarques vous déplaisent, n’y apportez surtout pas de contradiction", est-ce cela la démocratie ? je vous le demande humblement, mais ne vous fait aucune remarque.
j’ai essayé de démontrer par là que le droit de réponse est un droit inaliènable qui peut être utilisé par tous et dans toutes publications, suivez encore mon regard...
N’en déplaise, cette fois à monBouge et a ses arguties filandreuses.
Que ceux qui ne supportent pas la critique envers eux-même, n’en fassent pas envers les autres.
Que ceux qui font des critiques envers les autres en fassent aussi envers eux-mêmes.
C’était la minute philosophique de Georges Fernandes !
Lohengrin est de retour, incompréhensible, frappé et alignè !
Merci, ce que tu viens de dire est pour moi un grand compliment.
Etre incompris par les personnes comme toi. C’est du pur bonheur.
Nous le savons donc : Lohengrin, c’est Mr Georges sans les fautes d’orthographe. Joli dédoublement de personnalité !
mais ce que vous ne saviez pas encore c’est que nnours c’est mr Georges avec de l’humour...enfin c’est ce qu’il croit dans sa toute petite tête de peluche ; il ne faut pas trop lui en demander car il peut peu.joli triplement de personnalité !
le désintérêt de telles discussions n’est pas encore apparu, même en rêve, à nnours, mais le miracle pourrait arriver, on ne sait jamais.
Si cela continu, avec vous, je vais finir par être le Pape.
Lohengrin a raison,
Pendant ce temps, Betton métonne (pardon, Metton bétonne !).
J’attends avec impatience les réunions de quartier : J’ai payé une étude pour démolir l’église, mais ce n’est pas un projet, les gens (pas ceux qui sont dans la salle bien sur) sont de moins en moins respectueux, on ne peut rien faire contre l’augmentation des impots, et la démocratie locale existe....
Eh Nnours c’était hier le début des réunion de quartier....
Pas de Montbouge...
Et au vu de ce qui s’est dit, la démocratie locale n’existe pas....
le véritable intérêt de cette contrepétrie c’est de voir l’intérêt de telles "déclarations" et vous voulez la démocratie participative ? que des änonneurs dirigent les sans opinion par leurs considérations sans grande réflexion !
en ce qui me concerne je préfère la vraie démocratie, celle des urnes ; mais il y a des irresponsables partout, même chez ceux qui se cachent derrières leurs peluches, ils veulent faire passer à ceux qu’ils considèrent comme des imbéciles, des idées douteuses.
...Tant il est vrai que RH est identifiable, sinon par ses initiales !
En ce qui me concerne, je crois que ce n’est pas seulement avec des imprécations et des formules lapidaires que l’on fait avancer le débat, mais aussi en montrant ce qui pourrait etre amélioré.
Pour le reste, l’intéret de la démocratie participative, c’est d’éviter de donner un blanc seing à un seul individu, aussi brillant soit il, pour attendre de voir ce que donne son action.
Metton à Montrouge, c’est une absence de vision de ce que sera la ville (à moins qu’il ne souhaite pas la partager), une gestion sans envergure, et des économies apparentes qui se traduisent par des surcouts pour les contribuables. Vous n’avez qu’à regarder votre avis d’imposition de taxe d’habitation pour vous en convaincre.
En ce qui concerne l’anomalie du droit de réponse, je n’oublie pas que l’opposition montrougienne a laissé s’instaurer un système pas forcément fondé en droit, et qu’elle est donc responsable de la situation qu’elle subit actuellement.
Dernier point, je n’ai jamais prétendu être une peluche...
Les ours, c’est toujours joli en photo, ou en miniature mais en réalité, ça mord !
Roger Hanin,Rick hochet etc..
nnours est inidentifiable tant ses propos sont abscons
Ou Ringard Honteux ....
ah oui personne y avait pensé, on peut aller oin dans ces petits jeux puérils, mais nnours peut tout dire, même n’importe quoi ; c’est vrai la démocratie participative c’est avoir des idées qui vous passent par la tête, tout le monde doit les accepter puisque c’est participatif,c’est une manère d’imposer ses vues à moindre effort, c’est la mode !
et pourquoi pas dieu pendant que tu y es ?????
en réponse à Georges Fernandes qui apparemment ne se prend pas pour n’importe qui et qui aime bien qu’on parle de lui. Serait-il mégalo ?
Trop tard j’ai déjà utilisée le nom de Dieu.
Bises.
http://www.leopardmasque.com/blog/index.php?2006/02/28/51-extrait-de-dieu-n-aime-pas-les-fonctionnaires-de-pierre-marie-windal
Plus sérieusement, puisque vous insistez
http://www.livredumonde.net/index.php/module/critiques/cat/26/artid/607/encore-un-jour--.html
Est-il possible que ma mégalo soit proportionnelle aux nombres de personnes qui sont devenus tout blancs et qui ce sont mis à regarder les bouts de leurs chaussures quand je suis rentrée dans un couloir remplie de monde, samedi dernier ? Si oui alors je suis le plus grand des mégalos. Merci les comiques, ce sera un chapitre de plus grace à vous. Vraiment drôle. Même pas capable d’assumé vos actes et vos paroles. Bien minable, méprisable... que des comiques. C’est presque à pensée que Xavier est moins tordu que vous. C’est dire.
Pour que ce message ne serve pas complètement à rien, je vous informe de la prochaine réunion d’Attac 92 le jeudi 2 octobre à 20h30 à la maison des associations de Montrouge. Le sujet est : Ecologie et Social. Entrée interdite pour ceux qui blanchissent en me voyant, la présence d’un docteur n’est pas assurée.
Tu parle du modem ou du PS ?
Il est bien évident que ces réunions de quartiers ne sont que des parodies de démocratie. Cela permet aux gens de se défouler. Tous les sujets prennent la même importance, pourtant la politique du logement à Montrouge qui est désastreuse pour les moins fortunés a une autre importante que le bruit que fait la balayeuse tôt le matin. Pourquoi pas de vrais conseils de quartiers.
je trouve ce site de plus en plus décevant pour ce qui est des commentaires. Très peu d’échanges de vue sur des questions importantes pour la ville de Montrouge, mais beaucoup trop de petits réglements de compte après les dernières municipales
Je suis moi aussi lassé des reglements de compte...
Pour ce qui est des réunions de quartier, il est parfois utile d’y assister pour demander en public a Branaa pourquoi ces conseils de quartiersne verront pas le jour....
L’occasion aussi de demander des compte au directeur de l’office....
Si 100 ou 200 personnes ont chacun un commentaire désagréable a faire, peut etre, je dis bien peut etre que les choses changeront dans la tête des élus nouvellement élus ou réélus....
mon Cher Hugo vous participez d’une façon active au désintérêt que vous constatez en ressassant tous les mêmes lieux communs qui n’intéressent pas forcèment les montrougiens comme vous le supréposiez allègrement, en appelant la Démocratie ;
la vraie démocratie c’est d’élire des personnes qui nous représentent, ou alors de se présenter si on s’estime meilleur,
et non pas de dire n’importe quoi sur n’importe quel sujet comme vous et toute cette masse d’éternels déçus.
Si on n’est pas content de nos élus on en change ou on se présente pour les remplacer ;
si on n’en a pas changé aux dernières élections, c’est que les montrougiens n’étaient pas si mécontents que vous voulez le faire accroire. Et il ne faut pas on plus prendre les électeurs pour des imbéciles car ils ne le sont pas plus que vous.
Alors cessez vos jérémiades !
tiens la réponse d’un Mettonphile ou d’un sbire a son service...
Je pense effectivement qu’il s’agit de la réponse d’un Mettonphile qui a une conception singulière de la démocratie. Si j’ai bien compris , une fois que l’on a voté, on doit faire une confiance aveugle à ceux et celles que l’on a élu. Evidemment ce n’est pas la mienne. Je pense moi aussi qu’il faut interroger Mr le Maire et Mr BRANAA sur la mise en place de conseils de quartiers lors des réunions publiques.
conseils populaires et démocratiques de quartiers, seront les garants de la démocratie dans montrouge ; il faut aussi instituer des commissaires pour surveiller tous ces gens qui s’exprimeront ôu encore plus ceux qui ne s’exprimeront pas, car c’est véritablement suspect. la dénonciation sera de mise en cas de non création de ces comités de quartier puisque la démocratie n’existe plus à montrouge
Cette dernière réponse me paraait un peu fumeuse. On ne voit très bien ce que vous voulez dire, ou bien s’agit-il d’humour noir ?
pas de racisme s’il vous plaît.